Photo extraite de mon album personnel.
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Photo extraite de mon album personnel.
Je l'ai dit dans mon premier billet, mon expérience de la scatologie pour ce qui est du caca se limite à des expériences en solitaire, de plus en plus fréquentes d'ailleurs. En effet, je n'ai
jamais eu la chance de rencontrer une partenaire qui voulût bien partager avec moi ce fantasme. Je n'ai jamais embêté aucune femme avec ça non plus. Les plus susceptibles de se prêter à de tels
jeux parmi mes différentes compagnes (celles qui partageaient mon goût des fantaisies liquides) n'ont jamais manifesté le moindre intérêt pour le côté solide, sauf une, encore que faiblement,
mais notre aventure a tourné court avant que nous puissions faire quoi que ce soit dans ce domaine, sauf en parler de temps en temps, avec la promesse d'explorer un jour, peut-être, ce noir
continent érotique. Je ne renonce pas à rencontrer un jour, bientôt et grâce à ce blog, qui sait ? la perle rare, la très délurée cochonne qui m'en donnera pour mon argent (façon de parler car,
comme je l'ai dit, je refuse toute relation tarifiée).
Je ne considère pas la scatologie comme une dépravation. Je récuse même la notion de perversion, trop morale à mon goût, dans un domaine (la sexualité entre adultes consentants) où la morale n'a
que faire. Ce n'est pas tant ce qu'on fait qui détermine la qualité d'une pratique que la manière dont on le fait, en vue de quel objectif. Je n'envisage aucunement la scatologie comme une
pratique humiliante, ni pour moi, ni pour ma partenaire. Se rabaisser soi-même, rabaisser l'autre, non, merci. Je rêve d'une relation mature, d'une passion amoureuse où le pipi bien sûr, mais
aussi le caca, jouerait un rôle majeur, mais non exclusif.
Je veux bien être cochon, voire très cochon, mais je suis avant tout un cochon exigeant. Ce n'est pas la fréquence ni la quantité qui m'attire dans la scatologie, mais la qualité. Qualité de la
relation tout d'abord. Je tiens à aimer ma cochonne et à être aimé d'elle en dehors de nos cochonneries. Qualité des rapports ensuite. Le caca pour le caca, c'est non. Si c'est le caca et rien
que lui (la matière) qui m'attirait, celui d'un quelconque chien, celui d'un homme, ferait l'affaire. Or, ce n'est pas le cas. Les excréments d'une femme trop grosse ou vieille, je n'en veux pas.
Et je ne veux pas non plus d'une femme qui se néglige. Je veux une femme qui sache très bien ce qu'elle fait, à quoi elle joue, ce qu'elle transgresse. Il est possible que l'on ne comprenne pas
bien ce que j'avance. C'est subtil en effet. Mon goût de la scatologie est d'un puissant érotisme et non d'un vulgaire fétichisme. Ce n'est pas la matière que j'aime,mais la manière de la
traiter.
J'ai assez vu de vidéos de la catégorie scato pour savoir que la plupart ne soulèvent rien chez moi en dehors du cœur. Les vidéos japonaises comptent parmi les plus franchement ignobles du genre.
Il s'agit presque toujours de femmes à qui on donne à bouffer le contenu d'un récipient mêlant pisse et merde (cette dernière, fruit de lavements). On y voit toujours des femmes complètement
couvertes de merde semi-liquides, humiliées à l'extrême. Les vidéos brésiliennes sont toutes construites sur le même canevas : plusieurs femmes, entre six, douze et parfois plus, qui s'adonnent à
des orgies de caca dont deux ou trois d'entre elles sont les victimes : forcées de recevoir sur le visage, bouches ouvertes, les excréments de plusieurs autres femmes. Ensuite on leur enfonce
dans la bouche l'horrible fumier, avec les orteils la plupart du temps. S'y mêlent des crachats et aussi du vomi. Très peu pour moi, merci bien !
Les vidéos que je préfère, et elles sont rares, précieuses, sont celles où des femmes seules sont en scène, jouant avec leurs propres excréments comme si elles étaient seules, avec l'air de
beaucoup aimer ce qu'elles font, sans trop regarder la caméra. Je n'aime pas l'idée qu'elles fassent ce qu'elles font avec un peu de dégoût, pour le fric. Certaines de ces vidéos sont plus
troublantes que d'autres, filmées avec art, lentement, avec un souci esthétique manifeste. Je ne déteste évidemment pas les scènes de lesbianisme couplées à la scatologie, mais là encore, j'exige
un peu d'art, une esthétique, et je n'en vois guère dans les scènes où l'on voit dès la première image un grand plastique couvrant le sol. Bonjour la fantaisie et l'improvisation ! Et je ne dis
rien de ces films où après pas même une minute les deux femmes sont déjà couvertes de caca. J'ai aussi mes préférences en matière féminine et des motifs de rejet. Je n'aime pas les femmes épilées
et je supporte pas la vue d'un seul « bijou » intime. Les cheveux roses et les perruques, j'en veux pas. Je ne veux pas non plus voir des obèses et des vieilles peaux aux seins qui pendouillent.
J'aime les femmes minces, jeunes, brunes, voire très brunes, et aussi velues que possible, sinon, au moins, si peu velues, naturellement velues. On l'aura donc compris : plus de neuf vidéos
scatos sur dix ne m'intéressent pas. Quelques images, un bout de trailer et je sais à quoi m'en tenir. Pas la peine de télécharger un film que j'interromprai après trois minutes pour le
confier à la corbeille.
Je traiterai dans un prochain article de mon rapport personnel à la scatologique avec description de quelques-unes de mes pratiques en solitaire.
Il faut bien un début à tout. N'importe quelle passion, y compris non érotique, a son origine, son explication. Pour mon cas personnel, rien ne m'est arrivé dont je puisse dire maintenant : «
C'est ce jour-là que ça a commencé. »
Je fouille mes souvenirs. Gamin, vers 10 ans, j'avais une sœur de deux ans mon aînée qui sentait pas mal le pipi. Nous partagions la même chambre. Je ne me souviens pas que cela m'ait jamais
dégoûté. Je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais fait à ma sœur la moindre réflexion désobligeante à ce propos. Ni dégoût, ni attirance non plus. J'étais trop jeune.
Une anecdote précise me ramène vers ma quatorzième année. J'avais une nièce âgée de cinq ou six ans qui sentait elle aussi le pipi. À cet âge-là, rien d'étonnant. Autour d'elle, en permanence,
flottait ce que je ne considérais pas alors comme un parfum. Un jour, avec son frère plus âgé, nous jouions. La gamine avait grimpé sur mes épaules et je la trimballais comme un cheval sa
cavalière. Je me souviens avoir eu fortement conscience du fait qu'elle puait la pisse et que cela, non seulement ne me dérangeait pas, mais me troublait. Le soir, rentré chez mes parents,
j'avais encore sur moi ce parfum très spécial et ses effluves âcres flattaient mes narines dès que je faisais un mouvement de la tête. Qu'une anecdote si peu consistante ait marqué ma mémoire
prouve son importance. C'est ce jour-là sans doute que mon psychisme a été olfactivement baptisé, si je puis dire.
Le temps passe, je perds mon pucelage, j'ai des partenaires sexuelles. Il est inévitable qu'un jour, même si je n'en ai pas le souvenir, j'ai dû sentir entre les cuisses d'une femme le parfum
même léger du pipi. Aucune anecdote ne me rappelle avec précision une femme particulière, mais je sais avoir eu très tôt l'envie d'une partenaire qui sente le pipi. Toutefois, je n'étais pas
hardi au point de demander quoi que ce soit en ce domaine à aucune de mes amies. Lorsque, par hasard, ce parfum se manifestait entre les cuisses d'une amie, j'en humais discrètement les effluves
en me gardant bien de toute remarque, crainte que, sans doute, effrayée, honteuse, celle-ci ne veuille la prochaine fois se laver absolument avant d'oser me donner son sexe à lécher. Je n'avais
pas honte de mon attirance pour les senteurs de pipi, mais je n'avais pas envie non plus qu'on le sache et que l'on me traite de répugnant personnage, de pervers et autres gracieusetés.
Un jour, vers ma trentième année, j'ai une aventure avec une femme de dix ans ma cadette, et c'était une véritable coquine, fort douée. Elle avait eu très tôt des aventures et aimait m'en faire
le récit. Nous avions l'habitude de nous exciter mutuellement par des récits, soit réels, soit imaginaires. C'est ainsi que je me suis enhardi jusqu'à lui faire un jour le récit fantasmé d'une
aventure que j'aurais avec une femme que j'avais suivie en rue pour l'unique raison qu'elle sentait le pipi, si fort que je l'avais suivie comme un petit chien, tout haletant de désir. Mon récit
m'a valu des aveux de ma compagne. Elle a commencé à me raconter deux ou trois anecdotes de son adolescence liées au pipi. Il lui était ainsi arrivé de mouiller sa culotte accidentellement, en
public, et à sa honte s'était toujours mêlée une évidente excitation. Elle avoua me comprendre lorsque je disais être excité par l'odeur du pipi. Elle me raconta aussi quelques-uns de ses jeux
avec un précédent compagnon. Rien de très salé. Elle faisait parfois pipi sur lui, sur les W.-C., assis en vis-à-vis. Voilà qui ne tombait pas dans l'oreille d'un sourd.
Le jour suivant ou le lendemain, nous commencions à épicer nos soirées de quelques fantaisies liquides. Assise au-dessus de moi, tout près de mon sexe, elle m'arrosait le bas-ventre. Pour la
première fois, une femme urinait sous mes yeux. Je trouvais ça très excitant. Très vite, j'en voulus davantage. Elle m'arrosa, moi couché, elle debout. C'était une première pour elle aussi, et ça
lui plaisait fort, de plus en plus. Elle m'arrosa de la tête au pied, en mouvement, par jets successifs, s'écartant le sexe. Elle-même prenait des initiatives en ce domaine, ce qui me convenait
bien, moi qui déteste que l'on fasse quelque chose pour me faire plaisir, sans partager ce plaisir. Elle eut un jour, formidable audace, le désir de me sucer après m'avoir arrosé le sexe de pipi.
Je n'aurais jamais osé lui suggérer une chose pareille, mais elle le fit et apprécia ce nouveau plaisir. Peu de temps après, en promenade, par une belle soirée d'été, alors que nous parlions de
nos cochonneries, elle me dit qu'elle avait présentement besoin d'uriner et voulut savoir si cela m'inspirait. Nous quittâmes le chemin pour gagner une prairie et un petit coin entre deux
buissons. Je voulus la voir pisser de tout près, tout doucement, couchée sur le dos, les jambes écartées. Elle ôta sa culotte, se coucha, écarta les jambes, et je me couchai entre ses cuisses, le
visage près de son sexe. Un filet d'urine s'écoula d'entre ses lèvres. J'en fus si excité, d'autant plus que son urine sentait fort, que je me jetai sur son sexe avec la bouche et commençai de
laper le pipi qui s'échappait. Elle m'entendit déglutir. Je l'entends encore s'écrier : « Mais tu bois, tu es fou ! » Et j'étais fou assurément, si fou que je ne m'interrompis pas, ni elle.
Rentré chez elle, deux heures plus tard, nous en parlions encore, les yeux brillants. Son urine sentait si fort que j'en conservais l'odeur autour de ma bouche, et je me humais moi-même avec
délectation. Ma compagne trouva ce parfum très à son goût et nos bouches s'unirent...
Chaque semaine, elle et moi étoffions notre album de souvenirs. Le truc, c'était de faire chaque fois de l'inédit. Ou bien nous faisions ce que nous avions déjà fait, mais dans une position différente, ailleurs, ou bien nous innovions. C'est ainsi qu'un jour elle prit l'initiative de s'asseoir à mi-hauteur des escaliers de la mezzanine (une échelle fixe inclinée, aux marches larges assez pour s'y asseoir), pour m'arroser d'en haut d'un puissant jet de pisse. Un autre jour, elle me fit asseoir par terre, dos au miroir mural, se positionna au-dessus de mon crâne et se lâcha ainsi. Nous fîmes ensuite l'amour à même le sol, dans une flaque de pipi, très excités.
Ce que j'aimais par-dessus tout, ce dont j'étais très demandeur avec elle, c'était ses petites culottes qu'elle consentait à mouiller et à conserver plusieurs heures, le temps qu'elles se parfument comme j'aime. Ces culottes, je les aimais blanches au départ, pour y trouver ensuite, en plus du délicieux parfum, les traces jaunâtres de son délit. Elle en avait de fort belles, avec ou sans dentelles, toute une collection de culottes que je me plaisais le lendemain à retrouver par terre au pied du lit, odorantes en diable. Je me souviens même d'un week-end avec elle dans ma famille, où j'avais emporté sans rien lui dire une culotte bien souillée que j'ai conservée deux jours en poche. Chaque fois que je me rendais aux toilettes, je la sortais de sa cachette et m'en couvrais le visage pour en respirer l'entêtant parfum. Il a fallu que je lui confie très vite mon petit secret. Le soir, au lit, l'odorante culotte devenait le linge sacré de nos ébats. Je m'en caressais le visage devant elle, puis je la lui passais sur le visage ensuite. Je me couchais sur le dos, la culotte sur mon visage, tandis que mon amie s'empalait sur mon sexe. Elle se penchait et venait respirer sa propre culotte, nous nous embrassions avec fougue, nos nez sur la fourche jaunie de pisse de sa culotte.
Ce blog, le tout premier du genre en ce qui me concerne, je le créé surtout parce que j'en espère des fruits sous la forme de rencontres virtuelles et réelles. Je compte y parler de mes goûts le
plus précisément possible, avec des illustrations de mon cru, des photos personnelles où mon visage, naturellement, n'apparaîtra pas.
Je suis un homme dans la quarantaine et je vis seul depuis quelques mois après une relation quelque peu tumultueuse. Je ne suis pas à plaindre pour ce qui est du physique. Je suis normal à tous
égards, mince, sans l'ombre d'un commencement de bedon (j'y tiens), plutôt velu. Je suis aussi normalement constitué entre les cuisses.
J'échappe à la norme par mes goûts érotiques. J'aime en effet le champagne et le chocolat, d'où le titre de ce blog. Mais je n'aime pas ça à tout prix non plus. L'humiliation, ce n'est pas mon
genre. Je ne fais rien en ce domaine dans un esprit de dégradation. Vous ne me verrez jamais utiliser un vocabulaire de type « chiotte humaine », par exemple. Ma partenaire, idéalement, partagera
mon exigence d'un certain esthétisme, d'un érotisme sale, oui, mais raffiné. On comprendra ce que je veux dire au fil de mes billets.
Mon âge étant, je ne suis pas sans expériences. Je précise tout de suite que je n'ai jamais sollicité les services d'une professionnelle. Je suis tombé parfois sur des femmes dont une partie des fantasmes rejoignaient les miens, et d'autres que j'ai pu initier au fil du temps à quelques fantaisies.
Si je puis me prévaloir d'une longue expérience avec plusieurs femmes pour l'aspect champagne de ma petite entreprise, je dois avouer n'en avoir aucune pour l'aspect chocolat, sinon en solitaire.
Je parle de mes fantasmes facilement, sans forcément entrer dans les détails, mais je n'ai jamais eu cette chance de rencontrer une partenaire qui accepte d'aller plus loin que les fantaisies
liquides. L'une d'entre elles était un peu curieuse cependant et je lui ai raconté ce que je faisais parfois en solitaire, ce à quoi j'aspirais à deux, mais sa curiosité n'a jamais débouché sur
rien de concret. Je lui avais dit que si par hasard, un jour, dans le feu de l'action, elle désirait se soulager sur mon ventre (par exemple), elle ne devait pas hésiter, à condition bien sûr de
me prévenir juste avant. Peut-être aurais-je dû lui rappeler cette possibilité de temps en temps, mais je ne voulais pas avoir l'air de la contraindre, avoir l'air d'être obsédé par son caca.
Moi-même, je craignais peut-être d'être dégoûté. En effet, si nos propres odeurs ne nous dégoûtent jamais, celles des autres ont le don de nous écœurer très vite. Rien ne tue plus le désir que la
perspective du dégoût. Lorsque je mate des vidéos scatologiques, bien des choses m'excitent à la vision (une femme qui se tartine le corps de caca, par exemple), mais j'échappe aux odeurs. Et le
caca, ça sent plus ou moins fort. C'est un problème. Seule la forte excitation peut vaincre cette crainte. Comment être sûr que la vision d'un chaud boudin frais pondu sur mon ventre m'excitera
suffisamment pour faire abstraction de l'odeur ? J'en fait le pari, mais au-delà ? Il est possible aussi que l'odeur m'excite beaucoup, contrairement à mon appréhension. Tout est possible.
Mai 2025 | ||||||||||
L | M | M | J | V | S | D | ||||
1 | 2 | 3 | 4 | |||||||
5 | 6 | 7 | 8 | 9 | 10 | 11 | ||||
12 | 13 | 14 | 15 | 16 | 17 | 18 | ||||
19 | 20 | 21 | 22 | 23 | 24 | 25 | ||||
26 | 27 | 28 | 29 | 30 | 31 | |||||
|